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Comment investir dans la transition économique, dicté par la préservation du climat ?

La transition vers une économie décarbonée est inévitable. Et le secteur financier a déjà reconnu cette réalité. De nombreuses banques françaises se sont engagées à soutenir les investissements sans combustibles fossiles, à commencer par les leurs.

Réduire les émissions carbones en réduisant les investissements dans les énergies fossiles et privilégier les énergies renouvelables.

Le secteur bancaire français s'est engagé collectivement à soutenir la transition vers une économie à faible émission de carbone, avec pour objectif principal la préservation du climat mondial. Dans le cadre de cet engagement, de nombreuses banques ont décidés d’investir dans le vert.

Par exemple, BNP Paribas Fortis a décidé de consacrer 5% de son portefeuille d'investissement à des actions en faveur du climat. Ce genre d’actions se caractérisent par le fait d’investir massivement dans des énergies renouvelables et des projets d'efficacité énergétique.

Le secteur bancaire poursuit sa révolution numérique et l'actualité de ce secteur, bousculé par l'arrivée des monnaies numériques, s'étoffe de plus en plus vite, vous pouvez suivre ces changements sur CultureBanque.

 

 

Un cadre politique favorable aux actions de ces banques

La transition vers une économie à faible émission de carbone est inévitable. Et le secteur financier a déjà reconnu cette réalité. De nombreuses banques françaises se sont engagées à soutenir les investissements sans combustibles fossiles, à commencer par les leurs.

Leurs efforts vont de l'établissement d'objectifs verts pour leurs portefeuilles à la conclusion de partenariats avec des entreprises du secteur des énergies renouvelables et à la mise en œuvre de projets de financement vert.

Conformément aux engagements pris dans le cadre de l'accord de Paris sur le changement climatique, la France s'efforce d'accélérer la transition vers une économie à faible émission de carbone.

Elle vise notamment une réduction de 40 % des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 1990.

Pour atteindre cet objectif, la France a adopté un certain nombre de mesures, notamment une taxe sur le carbone et un programme de plafonnement et d'échange qui sont entrés en vigueur en janvier 2016.

En outre, la France a mis en place un cadre réglementaire pour les projets de financement vert afin de soutenir les investissements dans les technologies d'énergie renouvelable et les infrastructures connexes.

 

 

Le projet de loi prévoit notamment des incitations pour les projets d'énergie propre impliquant des connexions au réseau et des mécanismes de capacité pour les sources d'énergie renouvelable intermittentes telles que la production d'énergie éolienne et solaire.

Ce type de lois favorisent également le secteur bancaire qui se voit plus enclin, par conséquent, a investir dans des entreprises propres et à délaisser les énergies fossiles dans son portefeuille d’investissement.

 

Il apparait désormais comme une évidence de partir sur une transition écologique de l’économie globale et le secteur financier a déjà reconnu cette réalité. De nombreuses banques françaises se sont engagées à soutenir les investissements sans combustibles fossiles, à commencer par les leurs.

Ces engagements sont importants en soi, mais ils révèlent quelque chose d'encore plus intéressant : pour de nombreux banquiers français, faire ce qu'il faut en matière de changement climatique n'est pas seulement une question de blanchiment écologique ou de garantie de profits futurs ; il s'agit de développer des stratégies de croissance durable aujourd'hui.